Le capital amassé d’abord par cinq siècles de brigandage colonial, puis limité aux investissements dans les pays surindustrialisés de la vieille Europe, même en y créant, par la publicité et le marketing, les besoins les plus artificiels, et les plus nocifs, ce capital, créateur à ses origines en s’investissant dans des entreprises de production ou de services réels, est devenu un capital spéculatif, c’est à dire purement parasitaire.