Le cheikh El Oqbi mena les campagnes les plus dures contre ces courants de l’islam algérien (les chefs maraboutiques et les agents du culte officiel, en réaction à l’association des oulemans algériens, une association rivale vit le jour en 1932 et fut favorisé par l’administration qui dès lors renoua avec la politique répressive en interdisant aux oulémas « wahhabite » de prêcher .