Les jeux de hasard, le prêt à intérêt ou l’immoralité sociale

Des milliers de personnes perdent pour qu’un seul individu gagne; les jeux de hasard sont considérés dans l’islam comme contraire à toute moralité sociale et si le vice contamine la nation, toute l’économie est ruinée et l’espoir de redressement perdu.

Le Coran reconnaît que l’argent est la subsistance et le fondement même de la société; ne nous étonnons pas qu’il prescrive une circulation constante de la richesse parmi tous les membres de la nation, sans permettre le cumul de toute la richesse entre les mains d’un petit nombre.

C’est pour atteindre ce but que l’islam interdit par exemple le prêt à intérêt et les jeux de hasard.