La connaissance de Dieu ne saurait suffire au salut final.
Elle aboutit à un état intérieur qui consiste dans l’assentiment donné à son contenu et cet état à son tour, se prolonge par une action.
Une connaissance qui n’aboutirait pas à l’action serait une science vaine.
Obéir à Dieu, une fois qu’on Le connaît c’est Le servir.
Mais servir un maître ce n’est pas seulement lui témoigner un simple désir d’obéissance, c’est aussi lui obéir en toute sincérité.
La politique de Ghazali Henri Laoust