Où l’âme fait défaut, c’est la chute et la décadence

L’édifice social ne peut tenir que par les étais de la technique, de la science et de la raison, quand l’échelle des valeurs s’inverse remplaçant les vertus morales par la décadence, les futilités paraissent alors de grandes choses.

A ce moment là l’édifice social doit s’écrouler car l’âme seule permet à l’humanité de s’élever.

Où l’âme fait défaut c’est la chute et la décadence.

Source « la vocation de l’islam » Malek Bennabi