La joie de Mozart à la mort de Voltaire

Mozart s’exclama à la mort de Voltaire « Voltaire, ce mécréant et fieffé coquin, a crevé pour ainsi dire comme un chien. »

Lettre de Mozart à son père, le 3 Juillet 1778.

On la retrouve dans le livre compilant ses correspondances et intitulé « Correspondance » (vol II pages 335-336).