Henri Guillemin écrit « Voltaire tient qu’il importe à l’état d’avoir à sa disposition une masse docile de « gueux ignorants » autrement dit de prolétaires analphabètes, n’ayant que leurs bras pour vivre et constituant cette vile multitude. »
Bernard Werber dit « le monde se divise en deux catégories: ceux qui lisent des livres et ceux qui écoutent ceux qui ont lu des livres. »