Les évêques et les prêtres sont forcés de prêter serment à la république, un grand nombre d’entre eux refuse, ce sont les réfractaires, ils sont finalement obligés de s’exiler.
La population découvre les lois liberticides du pouvoir qui refuse à quiconque de croire à ce qu’il souhaite croire.
Les prêtres sous serments sont rejetés dans diverses régions et en particulier en Vendée.
Les paysans furent touchés dans leur foi, quand les conflits éclatèrent avec les autres pays européens et que la république força sa population à partir en campagne militaire, les paysans qui ne voulaient pas combattre pour la république prirent les armes et s’insurgèrent.
15 000 vendéens se soulèvent.
Ils prennent alors plusieurs villes qui se soulèvent avec eux.
A Machcou la violence éclate, le prêtre sous serment est massacré, les militaires républicains également.
Dans ce contexte de tension avec la guerre aux frontières, l’assemblée vote la peine de mort pour tous les insurgés.
L’armée est envoyée mais est battu.
Les tensions politiques entre girondins et montagnards s’accentuent.
Les paysans continuent leur reconquête, la rive droite de la Loire est sous leur contrôle.
Les Montagnards dont Robespierre prend la tête décide d’employer les grands moyens.
Un décret de 14 articles ordonne la marche à suivre, extermination totale des adversaires « politiques » qui ont refusé de s’assimiler à la république.
Déportation des femmes et enfants, massacre du reste dit le décret, mais voyant que cela est dure à organiser, il est décidé de massacrer tous les vendéens, puisque les enfants seraient de potentiel insurgés et les femmes pourraient enfanter de nos insurgés.
Toutes les paroisses envoient leurs hommes, l’armée républicaine fait face aux catholiques.
La république décide d’exterminer ces hommes qui refusent d’entrer dans la république, après les défaites des vendéens, leur extermination est voté, en 2 jours 15 000 d’entre eux sont égorgés, hommes, femmes, enfants et vieillards.
Ceux qui réussissent à fuir errent 2 mois dans les marécages jusqu’à être retrouvé par l’armée et se font exterminés.
Les vendéens ne sont plus, la Loi du suspect est voté, en ville n’importe quel suspect peut être arrêté et exécuté, partout les ennemis de la révolution sont traqués.
La liberté n’est plus.
Il est décidé ensuite d’exécuter tous les prisonniers, 500 personnes sont tués par jour, n’arrivant pas à enterrer le nombre important de mort, se sont les chiens qui dévorent les cadavres.
Les prêtres réfractaires eux sont jetés dans la Loire, ainsi que les femmes et les enfants encore en vie.
Le simple fait d’avoir salué un prêtre réfractaire suffit pour tomber sous le coup de la loi et être exécuté.
Les derniers rebelles sont sur l’île de Noirmoutier, Turrau part à la tête de l’armée avec pour mission officiel de brûler les récoltes et massacrer les vendéens.
60 000 soldats investissent la région, brulent les villages, tuent le bétail et massacrent la population, objectif que toutes traces de vie disparaissent.
Le 8/02 le ministre de la guerre écrit à Turrau, le félicite et l’enjoint à continuer ses massacres.
Les enfants sont embrochés sur les baillonnettes, les femmes violées puis eventrées…
Robespierre règne sur la convention, il a fait guillotiner tous ses opposants.
Sa tyrannie arrivant au paroxysme, ses derniers opposants crient à la chute du tyran, il est arrêté et lui même guillotiné.
La guerre de Vendée s’arrête, 170 000 personnes ont été tué.