Le ministre de l’intérieur regrette son ingérence dans le culte musulman

Quand le ministre de l’intérieur reconnaît que laisser à l’administration la responsabilité de juger acceptable ou non les interprétations par les oulémas est une faute grave et une erreur morale:
Les efforts de restauration de l’islam de l’association des Oulémas inquiéta l’administration française qui n’avait pas de contrôle sur les oulémas alors qu’elle l’avait sur l’islam maraboutique. Ils furent interdit de prêcher dans les mosquées et ne pouvait commenter le Coran que celui qu’un fonctionnaire non musulman avait autorisé, cette décision fit scandale et le ministre de l’intérieur déclara par la suite que cette décision était une erreur morale et une faute grave. Ces interdictions ne diminuèrent en rien le prestige des oulémas.