Malek Bennabi écrit « Dieu ne change rien à l’état d’un peuple tant que celui-ci n’a pas changé ce qu’il y a en lui-même ».
Le monde musulman est la proie d’un débordement inusité du « moi » et à chaque pas il y a une catastrophe. Quand les « moi » se rencontrent dans nos réunions, leur choc pulvérise les problèmes: il n’y a plus de problèmes, on ne s’occupe que des considérations d’amour-propre ou d’intérêts personnels. »
P88 la vocation civilisationnelle de l’islam