René Guenon écrit « le pouvoir temporel, concerne le monde de l’action et du changement; or le changement, n’ayant pas en lui même sa raison suffisante, doit recevoir d’un principe supérieur sa loi, par laquelle seule il s’intègre à l’ordre universel; si au contraire il se prétend indépendant de tout principe supérieur, il n’est plus, par là même, que désordre pur et simple.
Le désordre est, au fond, la même chose que le déséquilibre, et, dans le domaine humain, il se manifeste par ce qu’on appelle l’injustice. »