Quand l’imam Shamil du Daghestan, héros des guerres contre l’impérialisme Russe, écrivit une lettre à l’émir Abd Al Kader, lorsqu’il eut vent de sa défense des Chrétiens face à l’agression des Druzes. Il loua la noblesse de ses actes et remercia Allah qu’il y ait eu encore des musulmans qui agissaient selon l’idéal spirituel de l’islam.
En réponse à cette lettre l’Emir écrivit ce qui suit « Quand nous pensons à quel point sont rares les hommes vraiment religieux, à quel point sont rares les défenseurs et les champions de la vérité; quand on voit des personnes ignorantes qui s’imaginent que le principe de l’islam est dureté, sévérité, excès et barbarie, il est temps de répéter ces mots « Il ne me reste plus donc] qu’une belle patience! C’est Allah qu’il faut appeler au secours contre ce que vous racontez!» (sourate 12 verset 18)
La vie d’Abdelkader par Churchill