Le professeur Muhammad Hamidullah était mécontent des corrections apportées à sa traduction par les comités désignés par l’Arabie saoudite, il demanda le nom des traducteurs mais on ne lui donna pas, il conclua « je ne suis pas responsable devant Dieu. »
« Ils citent mon nom dans l’introduction et heureusement non comme traducteur. Je ne suis pas responsable devant Dieu. »