L’agriculture, l’industrie et le commerce sont solidaires du progrès économique et social alors que le crédit et la finance sont solidaires des régressions économiques, ruines, calamités…
Si la profession de médecin était distincte du médecin lui même, elle souhaiterai qu’il y ait beaucoup de malade pour s’enrichir, alors que le médecin lui soigne avec charité et fait la guerre aux maladies, de la même façon le prêt qui était un synonyme d’entraide entre les hommes séparé de la charité humaine entraîne des maladies économiques, car au lieu de soulager l’emprunteur le banquier cherche à prolonger et abuser de la précarité de l’emprunteur.
Le crédit a intérêt avait de par sa liaison involontaire avec les malheurs d’autrui, une prédisposition naturelle et innée au mal, alors que le prêt de par sa solidarité avec la personne éprouvée, avait une prédisposition naturelle et inée au bien.