L’histoire du communisme

Le socialisme marxiste est une organisation révolutionnaire, à ramifications mondiales au service d’une doctrine élaborée par Karl Marx vers 1848, complétée au point de vue tactique par Lénine de 1905 à 1917.

Les marxistes se divisent en deux groupes, le premier, les Mencheviks, a pour méthode la pénétration des mœurs et des institutions, le second, les bolcheviques, a pour méthode la révolution terroriste.

Les bolcheviks dirigés par Lénine et Trotsky, ont réussi à s’emparer du pouvoir en Russie avec le révolution d’octobre 1917, prenant le nom officiel de Parti communiste et intitulèrent état soviétique le gouvernement qu’ils constituèrent en Russie.

La théorie socialiste selon Karl Marx en résumé :

L’essence du marxisme est le matérialisme économique.

Il veut faire régner le bonheur sur terre par une meilleure répartition des richesses.

La civilisation actuelle est viciée par suite d’une honteuse inégalité des richesses et de l’exploitation de la masse des hommes par une minorité d’entre eux. Il veut détruire cette inégalité, en transformant la civilisation actuelle d’essence bourgeoise.

Pour Marx, le mal est le capitalisme.

Le remède est la transformation de la propriété privée en propriété collective, l’état devenant seul détenteur des richesses, seul maître de leur répartition et de l’organisation du travail.

Pour Marx, la division de l’humanité en classes sociales est un instrument d’oppression et l’histoire de l’humanité n’est que l’histoire de la lutte des classes.

Transformer l’humanité ne peut passer que par la suppression complète des classes.

Aux yeux des socialistes, le prolétariat est la classe sainte, la classe élue par qui l’humanité future doit être régénérée, après destruction violente des autres classes considérées comme des oppresseurs et des entraves au progrès.

Mais comme les classes supérieures ne s’y résignent pas, il faut les détruire radicalement par une terreur implacable et organisée.

Pour le marxisme la transformation du système économique doit passer par un développement industriel intensif, le machinisme représentant le seul progrès véritable pour échapper aux injustices sociales.

Le plan quinquennal mis en pratique par Lénine. en Russie pour l’industrialiser, avait pour but de dépasser le développement industriel du capitalisme.

Étant matérialiste, le socialisme nie toute tradition et vérité morale ou religieuse, la religion est vue par lui comme l’opium du peuple.

Lénine écrit « notre programme repose tout entier sur une philosophie matérialiste. Notre propagande comprend nécessairement celle de l’athéisme. »

Il écrit aussi « le communisme libère l’homme de la croyance en la vie future. »

Se voulant universaliste il prend en ennemi toute religion se voulant universaliste.

Dans cette conception totalitaire, l’état doit prendre en main l’organisation économique du monde mais aussi la vie privée des individus.

Les chefs communistes gouvernent en despotes mais au nom de la masse car ils sont sensés mieux savoir qu’elle même ce qui est bon pour elle.

La prise du pouvoir est le but du programme marxiste.

Staline l’exprime en disant que pour refaire le monde il faut avoir le pouvoir, pour cela le communisme a mis au point un système de révolution mondiale par des organismes terroristes ayant pour but d’attiser le désordre .

Les deux thèses tactiques du parti sont:

⁃ transformation de toute crise économique en crise révolutionnaire

⁃ transformation de toute guerre nationale en guerre civile

Le principal doctrinaire du socialisme moderne est Karl Marx, dont les deux ouvrages fondamentaux sont « le manifeste du Parti communiste » et « le capital ».

Marx n’élabore pas seulement la théorie de la révolution, il est un révolutionnaire en action.

Le marxisme émane de l’esprit messianique juif, insufflé à la classe ouvrière par des juifs, après plusieurs échecs en Europe, la Russie devient la terre d’élection des révolutionnaires.*

Lénine, tacticien génial ayant pour but suprême le pouvoir, propulse le bolchevisme, science pratique de la révolution qui complète la doctrine de Marx.

De là le communisme s’imposa en Russie et fut maintenu par une terreur sanglante.

Après s’être établi en Russie, les révolutionnaires tentèrent d’étendre leur pouvoir grâce à des soulèvements en Allemagne et dans toute l’Europe, mais le mouvement échoua progressivement pour ne subsister qu’en Russie.

A la mort de Lénine, Staline et Trotsky se disputèrent le pouvoir.

A partir de 1928, Staline est le dictateur incontesté, il industrialise son pays en collectivisant de force les campagnes, mais l’expropriation des terres aux bénéfices de l’état se heurte à une vive opposition auquel l’état répond par une répression terrible et des déportations de masse dans les régions glacées du nord.

• les juifs ont joué un rôle prépondérant dans les deux grands courants du monde moderne: capitalisme et socialisme, cette antithèse apparente cache des analogies profondes.

Le socialisme trouve appui dans la finance internationale.

Juifs de finance et juifs de révolution sont accusés d’avoir dicté de connivence une paix juive. On se trouve en présence d’une entente tacite entre les deux internationales, celle de l’or et celle du sang.

L’internationale financière et l’internationale révolutionnaire exploitant l’ordre ou plutôt le désordre en vue de faire triompher au détriment des civilisations occidentales, leur propre idéal, ces deux internationales ont à leur tête une élite de juifs.

C’est ainsi que les banques juives ont financé la révolution russe.

Le plan prévoit la destruction de la propriété au bénéfice de l’argent et la subordination de la vie au réseau invisible d’une organisation économique mondiale contrôlée par l’état banquier, seul capitaliste et maître des leviers de commande.

Cette alliance de la finance et de la révolution s’explique :

1-similitude entre eux dans la conception économique matérialiste du monde

2-Les capitalistes sont des affairistes vivant de spéculation, le désordre social est pour eux une occasion de profit

3-Le socialisme n’est pas une fin en soi, il est un moyen de destruction qui favorise les desseins de la finance internationale

L’idéal suprême juif tend à transformer le monde en une société anonyme; le capital de cette société doit être la planète terre et doit exploiter le travail de toutes les créatures, Israël doit fournir le conseil dictatorial d’administration de cette société.

Le terrorisme soviétique ayant fait table rase du passé, il ne reste plus au capitalisme d’état qu’à reconstruire à sa guise sur ce terrain déblayé.