La modernité contrairement aux apparences qu’elle projette sur le monde a été une véritable machine de destructeur psychologique et spirituelle de l’homme. Jamais l’individu n’a été aussi épuisé, suicidaire que sous l’auspice de l’époque moderne.
Bernard Werber dit « le monde se divise en deux catégories: ceux qui lisent des livres et ceux qui écoutent ceux qui ont lu des livres. »