Le bouddhisme est né d’une révolte contre le mensonge, les maux et les tyrannies de l’hindouisme du 5e siècle.
L’hindouisme fut probablement monothéiste au départ puis il a été corrompu par l’idolâtrie.
La corruption de la vérité a mené en retour à la corruption des valeurs.
L’hindouisme a dépouillé l’homme de sa liberté et de son individualité en l’enchaînant à un système de castes.
Le Bouddha s’est alors attaqué à ce culte pénétrée par l’idolâtrie, réaffirmant à l’individu la liberté individuelle d’atteindre le salut, quand l’hindouisme l’avait restreint à la caste sacerdotale des Brahmans, Bouddha s’est attaqué à eux comme Jésus s’est attaqué aux pharisiens.
Il a alors transformé le système inhumain de castes et a ouvert les portes de la religion à tous.
Le bouddhisme né en réaction à l’hindouisme a détruit le système de castes et à condamné l’idolâtrie, mais les adeptes du bouddhisme ont fait renaître celle ci en idolâtrant à leur tour Boudha.
Le monde occidental présente souvent le bouddhisme comme la religion de paix par excellence en opposition à l’islam, religion archaïque et de terreur.
Qu’en est il vraiment :
Tout d’abord le bouddhisme a pour philosophie d’échapper à ce monde, il ne propose pas de réforme collective et n’a pas d’aspiration tourné vers l’autre mais est une philosophie individuelle et individualiste à l’opposé de l’islam qui se tourne vers l’autre, enjoint à faire le bien, possède une doctrine collective, incluant l’individu dans la communauté et le poussant à agir pour l’intérêt général.
Cet ordre moral dans l’islam consolide la société tandis que l’attitude négative du bouddhisme vis à vis du monde enferme l’individu dans une quête individuelle du nirvâna.
De plus le bouddhisme n’encourage pas à assumer ses responsabilités de père, n’encourage pas non plus à fonder une famille, cette fuite de responsabilité dont boudha a montré lui même l’exemple en habitant sa femme et son fils a 29 ans ne peut contribuer à la stabilité de la société et de la famille mais au contraire en est la cause de sa destruction, tandis que l’islam ordonne le mariage, la tenue de ses responsabilités et l’éducation des enfants ce qui ne peut que contribuer à créer une société apaisée, stable et productive.
Le bouddhisme n’ayant pas parlé de Dieu, les boudhistes ont façonné leur propre vision de Dieu et ont ainsi divinisé l’homme, créé un système d’idolâtrie, ce qui est loin de répondre aux exigences de l’authentique conscience religieuse tandis que l’islam a libéré l’homme des fausses croyances et de l’idolâtrie, la libéré pour qu’il ne se tourne que vers Dieu.
De plus le bouddhisme s’adresse essentiellement à l’homme, le code moral du bouddhisme étant ouvertement hostile à la femme, la femme qui est synonyme de malédiction est considérée comme un simple bien mobilier, tandis que l’islam a rappelé le rang important de la femme, consœur de l’homme, égale à l’homme dans ses droits et devoirs vis à vis de Dieu, cette femme que l’islam a honoré en tant que mère, épouse ou fille et en tant qu’être humain à part entière.
Ainsi le bouddhisme méprise la vie d’ici bas et prêche la fuite de la vie terrestre quand l’islam demande de prendre sa part ici bas tout en se préparant pour l’autre vie, le bouddhisme ne donne de considération qu’à l’homme et méprise la femme tandis que l’islam honore la femme et lui donne toute la considération qu’elle mérite, le bouddhisme à occulté Dieu ce qui a alors enfermé ses adeptes dans la prison de l’idolâtrie tandis que l’islam a libéré ses adeptes de toutes dépendances et soumissions aux hommes.