Le jour de la mort de Bachir El Ibrahimi, le 20 mai 1965, Houari Boumediène déclara:
« La disparition de Bachir El-Ibrahimi est une perte non seulement pour la famille qui a perdu un être cher, mais aussi pour l’Algérie qui a perdu un éminent érudit et un grand combattant, enfin pour le monde arabe et musulman qui a perdu un homme qui a œuvré toute sa vie pour la gloire de son pays, de l’Islam et de la langue arabe.»