Herzl écrit « l’état juif » que pour réaliser son projet il va utiliser une force motrice: la détresse des juifs.
Quand Salahdine ouvre la Palestine aux juifs en 1187 il n’y a aucun afflux, le moteur du « retour » est l’antisémitisme et non la nostalgie spirituelle.
Tout au long de l’histoire ou l’accès à la Palestine était libre et les juifs persécutés, jamais ils n’ont émigré en masse vers la Palestine mais plutôt vers la Hollande, dans les Balkans, au Maghreb…
Herzl dit « les antisémites deviendront nos amis les plus sûrs. »
Les éditeurs de son livre l’ont accueillis avec enthousiasme, ils étaient antisémites et aimaient son livre.
Lucien Wolf dit « le péril caractéristique du sionisme est qu’il est l’allié naturel et durable de l’antisémitisme et sa plus puissante justification. »