Frantz Fanon écrit
« Le grand succès des ennemis de l’Afrique c’est d’avoir compromis les africains eux mêmes. »
« Le colonialisme et ses dérivés ne constituent pas à vrai dire les ennemis actuels de l’Afrique.
A brève échéance ce continent sera libéré.
Pour ma part plus je pénètre les cultures et les cercles politiques plus la certitude s’impose à moi que le grand danger qui menace l’Afrique est l’absence d’idéologie.
Les ouvriers mécontents subissent une répression aussi impitoyable que celle des périodes coloniales.
Syndicats et partis politiques d’opposition sont confinés dans une quasi clandestinité. »
« Le peuple qui avait tout donné aux heures difficiles de la lutte de libération nationale, s’interroge mains et ventre vides sur le degré de réalité de sa victoire. »