Lamartine lors de son voyage en Orient loue la piété des gens qu’il rencontre et déclare qu’en France depuis la révolution de juillet la prière est morte.
Il écrit au sujet des musulmans « leur religion est un déisme pratique dont la moral est la même en principe que celle du christianisme moins le dogme de la divinité de l’homme. »
Lamartine dit au sujet du muezzin de la mosquée de la coupole du rocher qu’il observe depuis le mont des oliviers « la voix vivante, animée, qui sait ce qu’elle dit et ce qu’elle chante est bien supérieure à la voix sans conscience de la cloche de nos cathédrales. »