La prière musulmane en occident était perçue comme l’expression de la piété et comme l’emblème d’une religion fondamentalement démocratique.
Frédéric Goupil-Fesquet écrit « la prière égalise les hommes déclarait ainsi Goupil-Fesquet, on voit le fellah, demi-nu, à côté du riche au caftan soyeux et au turban broché d’or, qui s’est dépouillé de ses armes, tous croient au même Dieu, tous viennent l’implorer avec la même ferveur. »
Paul de saint Victor écrit « la prière harmonise ces figures de races si diverses et de caractères si tranchés, elle les monte à son diapason d’extase; le reflet de l’Invisible les anime d’une même expression. »