Ibn Ata ilah dit « comment un cœur pourrait il s’illuminer, alors que son miroir est imprégné par les formes illusoires de ce monde?
Ou comment pourrait il entreprendre son voyage vers Dieu s’il est dominé par ses désirs et ses pulsions?
Ou comment désirerait il ardemment entrer dans la présence à Dieu sans s’être purifié de la souillure de son insouciance? »