Lord Marcoli écrit « l’histoire à beau nous aviser de ce que les juifs ont dans le temps introduit comme hérésies dans leur religion, ils furent au proie à des suggestions venues de leur imagination qui leur suggérait la nécessité d’avoir un dieu concret et tangible auquel ils rendraient culte et vénération. »
» les chrétiens disciples du Christ n’ont pas échappé au sort qui a frappé avant eux les grecs et les perses dans leur foi.
Ils se figurèrent que Dieu s’était incarné sous forme humaine et qu’il avait bel et bien vécu parmi eux, qu’il avait eu en commun avec eux les mêmes besoins et les mêmes états de fin et de mort.
Comme ils crurent que ce fut Dieu qui pleurait parmi eux sur les tombes et dormait dans les crèches jusqu’à ce qu’il fut crucifié et que le sang coula sur le bois de la croix.
Ils présentèrent, de la sorte, une nouvelle forme d’idolâtrie au monde.
Certains prêtres et moines devaient par la suite devenir des idoles. »
Source « universalisme de l’islam et problème de l’époque » Muhammad allalou