Les maîtres français tentés par leurs esclaves, les mettaient régulièrement enceinte, le pouvoir royal soucieux de préserver la « pureté de la race » pris des mesures dissuasives pour empêcher le mariage entre un blanc et son esclave, ainsi que l’interdiction de baptiser comme « libres » des enfants nés d’une mère esclave et d’un père blanc.
En 1784 dans les Antilles Françaises on institua un registre spécial des naissances et des décès des noirs ne valant pas état civil.
Pour que la France reste blanche, le roi limita le séjour des esclaves noirs en France à 3 années.
Puis en 1778 face aux derniers récalcitrants les mariages mixtes furent totalement interdit.
L’interdiction légale des mariages mixtes entre noirs et blanche se retrouvera plus tard en Afrique australe sous apartheid, en Allemagne sous le 3e Reich et bien entendu aux États Unis jusqu’en 1966.
En Allemagne les lois de Nuremberg en 1945 justifièrent l’interdiction des mariages mixtes pour préserver la pureté du sang allemand.
En Rhéanie, c’était la chasse aux « batards » sur 600 métis, il y eut 385 castrés.
Source « les colonialistes » Omar Mounir