La tradition a conservé du prophète une foule d’actes de clémence pour des forfaits commis contre sa personne et les siens.
C’est ainsi qu’il fit grâce à l’émissaire Qurayshite qui venait pour l’assassiner après Badr; à la jeune femme juive qui tenta de l’empoisonner à Khaybar; à l’autre qui bouscula brutalement pendant l’émigration sa fille aînée Zaynab enceinte qui perdit son bébé.
On connaît l’indulgence dont il couvrit les calomniateurs de sa femme innocente, Aicha.
On admire surtout sa conduite infiniment pacifique et généreuse pendant et après la conquête de la Mecque.
Source « initiation au Coran » Mohammed AbdAllah Draz