En prétendant rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu, on finit par faire de César un égal de Dieu et par le diviniser, ce qui est de l’associationnisme: rien n’est en réalité à César et César n’est lui même qu’un serviteur du Dieu unique et tout puissant.
C’est à dire que la politique doit elle même être service d’adoration et que la religion ne se développe pas dans un univers qui lui serait totalement étranger, dans une dimension a-politique .
Dieu a des droits lesquels méritent un respect prioritaire à toute autre considération et Il entend Se donner les moyens de les voir honorer.
Source « musulman en Europe » Jean Michot