Les sociologues des religions expliquent que le christianisme et le bouddhisme sont généralement les religions qui font le plus preuve de violence du fait de leur manque de pragmatisme et de leur idéalisme poussé à l’extrême.
Cet idéalisme et ce manque de pragmatisme ne peuvent permettre à l’homme de repousser sa volonté de domination, sa soif de violence ou de haine, ainsi faisant face à ce message idéaliste qui ne prend pas en compte sa nature il finit par laisser libre court à ses penchants les plus néfastes.
A l’opposé l’islam, ce veut être une religion pragmatique qui prend en considération l’homme tel qu’il est, au lieu d’être idéaliste et de nier toute la part de violence qui est en lui, il régule celle-ci en lui donnant des règles et en instituant des principes visant à repousser cette violence « celui qui tue un homme c’est comme si il avait tué l’humanité entière… »
L’inquisition, les croisades, la colonisation, le massacre des indiens, la Shoah…ou encore le rohingyas témoignent de l’effet néfaste de cette idéalisme impraticable et du manque de pragmatisme de ces deux religions, dont le dogme est celui de la colombe mais son comportement celui du rapace.
J.L Margolin dit « certains des pays les plus strictement attachés à la loi de l’éveillé (le bouddhisme) furent de ceux qui connurent les massacres les plus sinistres et les plus fréquents.
On peut incriminer l’impossibilité d’appliquer strictement les principes radicaux du bouddhisme, ce qui libère les tendances à leur transgression complète ou, en tout cas, à des interprétations très personnelles de la hiérarchie des valeurs. » (L’histoire inhumaine p317)