Michaud écrit dans « histoire des Croisades »:
« Mahomet défendit à ses lieutenants de tuer des moines parce que sont des hommes de prière.
Quand Omar s’empara de Jérusalem, il ne fit aucun mal aux chrétiens.
Quand les croisés se rendirent maîtres de la ville sainte, ils massacrèrent sans pitié des musulmans et brûlèrent les juifs. »
L’abbé Michoud dans son livre « voyage religieux en Orient » écrit :
« Il est triste pour les nations chrétiennes que la tolérance religieuse, qui est la grande loi de charité de peuple à peuple, leur ait été enseignée par les musulmans. »
Gustave le Bon écrit « la force ne fut pour rien dans la propagation du Coran, car les arabes laissèrent toujours les vaincus libres de conserver leur religion.
Si les peuples chrétiens se convertirent à la religion de leurs vainqueurs, ce fut parce que les nouveaux conquérants se montrèrent plus équitables pour eux que ne l’avaient été leurs anciens maîtres et parce que leur religion était d’une plus grande simplicité que celle qu’on leur avait enseignée jusqu’alors…
Loin de s’être imposé par la force, le Coran ne s’est répandu que par la persuasion…
Seule la persuasion pouvait amener les peuples qui ont vaincu plus tard les arabes comme les turcs et les mongols à l’adopter.
(La civilisation de arabes)
Source « visages d’Islam » Haïdar Bammate