L’islam ne se propage pas par la contrainte, l’islam n’est pas une religion totalitaire où il n’y aurait aucune place pour la liberté, le libre choix de l’individu.
Celui qui se serait converti sous la contrainte n’aura que l’apparence d’un croyant et sa foi insincère ne pourrait qu’affaiblir la communauté tout entière.
L’islam est une religion établie sur des bases inébranlables, dans laquelle il n’y a pas de place pour le doute.
Le physicien Lavoisier dit « la nature a horreur du vide » la nature humaine encore plus et le vide spirituel est certainement le pire de tous.
L’absence du sacré a marqué la limite du marxisme car au demeurant celui ci, réduit à lui même, n’est qu’une religion de l’homme.
Le socialisme a confondu permissivité avec liberté, ils ont cru qu’il suffisait de détruire le principe d’autorité pour favoriser l’épanouissement de tous.
L’expansion explosive de la foi musulmane témoigne de la puissance du Message, de sa capacité à embraser l’esprit et le cœur des hommes.
Les derniers européens qui ont gardé la fierté de leurs origines, ceux qui sont encore fidèles à l’héritage de leurs pères en viendront à embrasser l’islam, seul moyen de sauvegarder leurs valeurs, le patrimoine spirituel hérité d’une longue histoire pour ceux qui auront su garder le respect d’eux mêmes, dont le refus de s’avilir au contact du fétichisme matérialiste.
Le capitalisme est une impasse, la planète est épuisée par une économie de prédation malgré les cris d’alarme.
La seule issue est une révolution spirituelle de l’humanité.
C’est le refus de l’avilissement de l’humain qui fera accepter la vraie foi islamique aux occidentaux qui se situent encore dans le prolongement de leurs traditions et de leur histoire.
Cela est aussi vrai pour d’innombrables fils et filles de musulmans qui ont cédé aux mirages de la « modernité ».
Ce qui veut dire que l’effort est aussi à porter à l’intérieur même de l’oumma toujours encline à se convertir au culte du veau d’or, à abjurer la foi en épousant toutes les idolâtries moderne, l’hédonisme, l’individualisme, la soif de plaisirs artificiels et de puissance éphémère.
Le monde que vous appelez « moderne » a éloigné l’homme de lui même, les mœurs sont sans pudeur et sans retenue.
Source « l’islam révolutionnaire » Ilich Ramirez Sanchez Carlos