Cheikh abou Yaâla Ezzouaoui membre de l’association des oulémas algériens cite qu’Ibn Khaldoune a dit « les soufis étaient au début des sunnites qui avaient créé le soufisme comme une doctrine salvatrice car les gens avaient commencé à se détacher de la religion et à s’attacher aux mirages de la vie d’ici bas.
Mais les successeurs avaient vite été influencés par les fatimides ismaéliens.
Puis le cheikh continue en disant « nous ne sommes pas contre le soufisme authentique mais contre le soufisme perverti, nous sommes contre les soufis qui ont introduit des innovations blâmables au soufisme.
Ibn Khaldoune a dit « les successeurs soufis qui parlent de pouvoir d’accès aux significations cachées (batin) du Coran et de la sunnah au moyen d’interprétations ésotériques ont été amenés à adopter dans leur doctrine des éléments du gnosticisme puis ultérieurement du néoplatonisme puis se sont orientés vers qui considère que le monde est une émanation de la divinité.
Ces successeurs ont fait moult écrits sur leur doctrine innovée.
Ces soufis ont été fortement influencés par les ismaéliens qui croient en la divinité de leurs imams.
Tout cela est irrationnel et va à l’encontre de la charia, ce qui veut dire que ces doctrines sont blâmables.
Source articles et opinions des figures emblématiques de l’association des oulémas musulmans