Le contrôle du culte musulman

Le 16/02/1933 le secrétaire général de la préfecture d’Alger, Mr Michel prétextant une plainte fictive des oulémas sunnites contre les oulémas réformateurs (Ibn Badis…) interdira la prédication dans les mosquées.

Seuls les agents du culte nommés par l’administration pouvaient faire les prêches.

Il autorisera les perquisitions dans les lieux de culte.

Le président du Conseil consultatif musulman du département d’Alger sera confiée à un français non musulman.

Un mois plus tard, des comités culturels musulmans départementaux furent créés afin d’exercer un contrôle sévère du culte musulman.

Le 28/08/1939 Bachir El Ibrahimi, président de l’association des oulémas algériens fut mis en résidence surveillée à Aflou et plusieurs de ses compagnons se retrouveront dans les camps de Ain Sefra.