Afin de réduire l’influence des savants et imams sur la population algérienne, Napoléon III créa en 1866 un conseil supérieur de droit musulman composé de 5 oulémas chargés de statuer selon la shari’a.
Le but étant à moyen terme d’annuler totalement la justice musulmane, ce qui ne pouvant être fait dans l’immédiat de par l’influence des guides religieux locaux pourrait être réussi en récupérant le droit pour ensuite l’annuler plus facilement.