« l’avortement est le crime le plus horrible car la victime n’a même pas la possibilité de crier sa souffrance » Jean Paul 2

En 1975 la loi Veil dépénalise l’avortement

En 1989 l’avortement est autorisé à l’hôpital.

En 2001 l’avortement est déclaré être un droit véritable des femmes

En 2004 l’avortement devient possible en médecine de ville

En 2009 il devient possible dans les centres de planification familiale (pour ne pas dire centre d’avortement)

En 2014 on a supprimé la notion de détresse dans le recours à l’avortement

En 2015 amélioration des conditions d’accès à l’avortement pour toutes

Simone Veil déclarait « je le dis avec toute ma conviction, l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours, pour des situations sans issues. Mais comment le tolérer sans qu’il perde se caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager. »

L’IPPF (l’association internationale du planning familial) écrit « Aucune femme ne sera condamnée à une maternité forcée pour avoir exercé sa sexualité »

L’IPPF écrit également « l’avortement est un droit sexuel fondamental »

On est passé d’un recours d’exception à une banalisation de l’avortement.