Rothschild disait: « donnez moi le contrôle sur la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font des lois » il découvrit que les comptes de crédits sur dépôt avaient l’apparence requise du pouvoir qui pouvait être utilisé pour avoir le pouvoir sur les gens qui sont prêt à échanger leur réelle richesse contre une promesse de richesse plus grande.
Ils déposeraient des richesses réelles en échange d’une simple lettre de change.
Il vit qu’il pouvait émettre plus de promesses qu’il ne pouvait en rembourser aussi longtemps qu’il pourrait montrer un stock d’or pour rassurer ses clients.
Dans un tel système le crédit présenté sous une forme appelée monnaie à l’apparence du capital mais n’est en fait que du capital négatif provenant du découvert.
Extérieurement cela a l’apparence de la production de services alors que ce n’est en réalité que de la dette.
C’est donc une inductance économique (ou incitation économique) au lieu d’une capacitance économique (capacité de production réelle) et faute d’être équilibré d’une autre façon cela doit être équilibré par la destruction de population (guerre, génocide).
La guerre est donc l’équilibre du système obtenu en tuant les vrais créditeurs et en ayant recours à tout ce qui reste des ressources de la nature et de la régénération de ces ressources.
La méthode la plus simple pour rendre efficace une arme silencieuse et gagner le contrôle du public est de maintenir celui ci ignorant des principes basiques du système tout en le gardant dans la confusion, désorganisé et distrait avec des sujets sans importance réelle de l’autre coté.
Ceci est obtenu en:
1- décourageant l’activité de leurs esprits, sabotant leurs activités mentales, fournissant des programmes d’éducation de basse qualité et en décourageant la créativité
2- encourageant leurs émotions, augmentant leur égocentrisme et leur goût pour les activités émotionnelles et physiques en:
A- multipliant des affronts et attaques émotionnelles au moyen d’un barrage constant de violence, de guerres, de sexe dans les médias
B-leur donnant ce qu’ils désirent en excès pour l’esprit tout en les privant de ce dont ils ont réellement besoin
3-réécrivant l’histoire et la loi et soumettant le public à des distractions, ce qui permet de déplacer leurs pensées de leurs besoins personnels vers des priorités extérieures hautement fabriquées
La règles est : plus il y a de confusion plus le profit est grand, la meilleure approche est de créer des problèmes et ensuite d’offrir des solutions.
Sommaire de la diversion :
Médias: garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes
Enseignement: garder le public ignorant de la réalité de l’économie, la loi, l’histoire…
Spectacle : maintenir le divertissement public en dessous du niveau de la sixième
Travail: garder le public occupé sans temps pour penser
Table des stratégies

Franklin D. Roosevelt disait « en politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »
Nicholas Murray Butler disait « le monde se divise en 3 catégories de gens: un petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est réellement produit. »