Travail et usure

L’usure, c’est le taux d’intérêt, la création d’argent sans travail.

Ce procédé d’enrichissement est une vision du monde.

L’usure amène les sociétés à devenir matérialistes et anti humaines, réduisant l’homme à un matériau.

Les civilisations de l’usure ont déclaré la guerre aux civilisations humaines.

Une lettre des Rothschild à la maison Ikleheimer datée du 26/06/1863 dit « il y en aura peu qui pénétrons ce système et ceux qui le comprendront s’emploieront à en jouir; quant au public, peut-être ne comprendra-t-il jamais que ce système est contraire à ses intérêts. »

La guerre est le suprême sabotage; c’est la forme la plus atroce. Pour dissimuler l’abondance existante ou virtuelle, les usuriers suscitent les guerres, et ce, pour créer la disette.

Il est plus difficile d’obtenir le monopole de matières qui abondent que de celles qui sont rares.

Les usuriers déclenchent des guerres pour établir des monopoles à leur avantage et pour ensuite étrangler le monde.

Les usuriers provoquent des guerres pour créer des dettes dont ils jouissent des intérêts, ainsi que des profits résultant des fluctuations de la valeur de l’unité monétaire.

Hazard Circular en 1862 dit « la grande dette que nos amis, les capitalistes d’Europe, susciteront par cette guerre sera employée à trafiquer la circulation monétaire.

Nous ne pouvons permettre que les billets d’état circulent parce que nous n’en pouvons régler l’émission… »

Le libéralisme dissimule son économie funeste sous deux prétextes:

⁃ la liberté d’expression

⁃ La liberté de la personne

Demandez au pays libéraliste comme l’Angleterre si ces prétextes sont respectés.

Interrogez n’importe quel journaliste américain sur ce qui lui est laissé de liberté d’expression par les grandes firmes qui ont acheté la presse.

La monnaie-travail n’est pas monopolisable, nul ne serait assez fou pour abandonner son propre compte en banque à la discrétion d’autrui! Pourtant des nations entières, des simples particuliers, des industriels, des hommes d’affaires se sont empressés de laisser le contrôle des monnaies aux mains des plus fétides rebuts de l’humanité.

L’argent devient alors le monopole de certains, leur pouvoir ne provenant que de l’ignorance de ceux qui font confiance à ce système bancaire.

La monnaie est une invention humaine qui est devenu un instrument maléfique.

L’usure est un vice et un crime condamnés par toutes les religions et tous les moralistes de l’antiquité.

Shakspeare en parlant de l’usure dit « ce n’est pas dans l’argent qu’il faut chercher la racine du mal mais dans l’avarice et la convoitise du monopole.

Saint Ambroise tonnait «  monopolisateurs des récoltes, soyez maudits entre les peuples! »

L’erreur fut d’idolâtrer l’argent, d’en faire un dieu. Cette dénatura tient à la fausse représentation que nous nous faisons de l’argent, lui attribuant un pouvoir qui ne lui revient pas.

Un banquier est un homme qui achète de l’argent et des dettes créant par là, d’autres dettes.

La banque bénéficie de l’intérêt sur l’argent qu’elle crée de rien.

L’usurocratie a inventé un système esclavagiste plus rentable que l’esclavage lui même, car il lui permet de tenir en esclavage l’homme libre, l’esclave coûtait de l’argent à son maître, l’homme libre devenu esclave de la dette rapporte sans rien coûter à son nouveau maître.

Les guerres sont faites pour créer des dettes et toute nation refusant de s’endetter devient la cible des usuriers.