Les penseurs des lumières parlent d’homme ou d’humanité, mais que représentent réellement l’humanité pour eux et qui sont les hommes:
Voltaire dit « nous n’avons de compatriotes que les philosophes, le reste n’existe pas »
« Le sot n’est pas notre prochain »
« Le plaisir noble de se sentir d’une autre nature que les sots »
Diderot dit « l’espèce humaine n’est qu’un amas d’individus. »
Il dit aussi « l’animal bipède appelé homme. »
Ou encore « ces pucerons à deux pieds qu’on appelle des hommes. »
Voltaire dit aussi « l’animal appelé homme. »
« Un animal à deux pied appelées hommes. »
Rousseau dit « on ne naît pas homme, l’homme se fabrique. »
L’animalisation des vendéens aida à leur massacre, une fois l’opposant déshumanisé il est facile de justifier son anéantissement.
Pour Voltaire l’homme noir est plus un parent du singe que de l’homme blanc
Buffon dit « le nègre est à l’homme ce que l’âne est au cheval. »
William B. Cohen écrit « que les noirs fussent au dernier échelon de la hiérarchie humaine et qu’ils représentassent par conséquent un intermédiaire entre les orangs-outans et la race blanche était on ne peut plus évident »
Le médecin Virey écrit au sujet des Papous « ils semblent être tout corps et n’ont guère plus d’esprit que l’orang-outang »
Voltaire décrit l’africain comme un animal noir qui a de la laine sur la tête marchant sur deux pattes, presque aussi adroit qu’un singe, ayant un peu plus d’idées qu’eux et plus de facilité pour les exprimer »
« Ces pauvres nègres dansant avec presque autant de justesse que nos éléphants » dit encore Voltaire
Le médecin Bordeu ajoute « une race vigoureuse, intelligente et véloce dont nous ferions d’excellents domestiques »
Diderot « les nègres sont niais et sans génie »
Voltaire qualifie le noir de chiasse du genre humain.
Voltaire qualifie d’espèce abatardie les mulâtres issue d’un noir et d’une blanche, il continue en disant que le nègre est au dessus du mulâtre, comme l’or pur est au dessus de l’or mélangé.
Les lumières c’est aussi la désacralisation de la virginité plaçant la femme plus que jamais sous domination masculine, la finalité du féminisme, dans un climat de despiritualisation ambiant donne à l’homme domination sur le corps de la femme, qui n’est plus protégée par le mariage.
On demanda à Manon Roland ce que les femmes avaient gagné avec la révolution elle dit « un mépris plus marqué, un dédain plus signalé. »
Article 213 du code de Napoléon : le mari doit protection à la femme, la femme obéissance à son mari.
Napoléon Bonaparte disait la nature à fait de nos femmes nos esclaves
Le duc de Levis-Mirepoix était un loyal et preux chevalier qui de sa vie n’avait imaginé qu’on put tromper autre chose que des femmes.
Voltaire dit « consentement ou non, il y a défaite, l’homme attaque la femelle. »